Pas de stockage, pas de stabilité. Pas de stabilité, pas d’intégration massive des renouvelables. Pas de BESS ? Pas de transition énergétique à grande échelle.
Bienvenue dans le monde des chefs de projet BESS, les chefs d’orchestre silencieux de la flexibilité énergétique.
Le Technicien de maintenance hydroélectrique réalise les opérations d’entretien préventif et curatif sur les centrales, qu’elles soient de grande puissance ou de petite hydraulique. Il contrôle les équipements, diagnostique les anomalies et intervient pour remettre les installations en état.
Il travaille en étroite collaboration avec les chargés d’exploitation, les ingénieurs et les prestataires spécialisés pour garantir une production fiable, dans le respect des normes HSE et environnementales.
Connaissances solides en électromécanique, hydraulique et électricité industrielle.
Maîtrise des techniques de diagnostic et d’intervention sur équipements complexes.
Utilisation des outils de supervision (SCADA) et logiciels de GMAO.
Lecture et interprétation de plans électriques et hydrauliques.
Notions en réglementation environnementale et sécurité industrielle.
Rigueur et précision dans l’exécution des interventions.
Réactivité et sens du diagnostic en situation d’urgence.
Autonomie dans la gestion des tâches et des priorités.
Capacité à travailler en équipe et à communiquer efficacement.
Sens des responsabilités et respect strict des consignes de sécurité.
Le poste s’exerce principalement sur site, en centrale, parfois en zone isolée (montagne, vallées). Les horaires incluent souvent des astreintes pour intervenir rapidement en cas de panne. Le métier demande une bonne condition physique et une vigilance constante.
Un Bac Pro en maintenance industrielle, électrotechnique ou mécanique constitue une première voie d’accès. Un Bac+2 ou Bac+3 (BTS/DUT en électrotechnique, maintenance industrielle, énergies renouvelables) offre davantage de débouchés.
L’expérience acquise en centrale, auprès des équipes exploitation ou en entreprise de maintenance industrielle, permet de maîtriser progressivement la diversité des interventions.
Approfondir ses compétences dans des domaines précis (turbines, régulation électrique, hydromécanique, maintenance prédictive) ouvre la voie à des postes à plus forte responsabilité. Les habilitations électriques HTA/BT sont indispensables.
Les opportunités se trouvent auprès des grands énergéticiens (EDF, Engie, CNR), des exploitants indépendants de petites centrales hydroélectriques et des sociétés de maintenance spécialisées.
Oui, il implique des déplacements fréquents en centrale, parfois dans des zones difficiles d’accès, et des interventions sur des équipements imposants. Une bonne condition physique est nécessaire.
Les risques sont liés à l’électricité (haute tension), à l’hydraulique (conduites sous pression, crues) et aux travaux en hauteur ou en espaces confinés. D’où l’importance des formations sécurité.
Multimètres, appareils de mesure hydraulique, logiciels de GMAO, systèmes SCADA, ainsi qu’un outillage mécanique et électrique classique.
Oui, elles sont courantes car une panne peut stopper la production. Les équipes doivent être disponibles pour intervenir rapidement.
Agent de maintenance hydroélectrique, Technicien électromécanicien hydro, Technicien exploitation-maintenance hydro.
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